Comment les entreprises françaises peuvent tirer parti du Big Data

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http://novita-med.pl/?komarivske=czy-portale-randkowe-maj%C4%85-sens&e13=e5 L’accélération des flux de données et d’information change la dynamique de la mondialisation. Tandis que la plupart des échanges de biens sont déjà longue distance, près de la moitié des autres flux sont encore intrarégionaux, comme l’a révélé le bureau d’étude McKinsey. Alors que les infrastructures et les technologies continuent de se développer, tout comme la population mondiale, les barrières liées à la distance, à la langue ou aux normes culturelles tombent jour après jour, créant un monde plus unifié.

http://polo5167.com/20170709_190320/ L’impact économique de la mondialisation se renforce alors que les connexions entre les pays et les entreprises deviennent plus faciles et plus profondes, ce grâce à une digitalisation croissante. Les flux favorisent en effet la circulation des idées, de la recherche, de la technologie, des talents et des pratiques dans le monde. Sur la décennie écoulée, les flux mondiaux ont fait progresser le PIB mondial de près de 10% par rapport à une situation à flux stagnants. La contribution au PIB mondial en 2014 de tous les flux combinés (commerce de biens, migration des personnes, flux de données, investissements directs à l’étranger) s’élevait à $7.800 Mds, dont $2.300 Mds générés par les flux de data.

Mondialisation et digitalisation ont donc un impact direct sur la vie des entreprises françaises, lesquelles doivent non seulement faire face à des concurrents locaux mais également étrangers, tandis que les partenaires au-delà de nos frontières, eux, ont accès à une quantité de données de plus en plus importante sur les entreprises de l’hexagone.

2.5 quintillions de bytes créés chaque jour

Cette digitalisation est quantifiable en termes de données. Selon IBM, 40 Zettabytes (43.000 Mds de gigabytes) seront créés d’ici 2020, une hausse représentant 300 fois le volume créé en 2005. Près de 2.5 quintillions de bytes (2.300 Mds de gigabytes) de données sont créés chaque jour. Plusieurs facteurs sont derrière cette explosion : la démocratisation d’Internet, le stockage des données numériques, le VOiP, les réseaux sociaux (vidéo, audio et texte), les capteurs (Internet des Objets), RFID…

Le Big Data désigne l’écosystème complet de solutions informatiques créées dans le but de récolter et analyser des petabytes d’informations en circulation afin de comprendre davantage les comportements des consommateurs, l’efficacité de la chaîne de production, la sécurité de l’entreprise, sa performance. Les adopteurs précoces de solutions analytiques Big Data gagnent généralement un avantage compétitif évident, dans la mesure où ils deviennent plus susceptibles de prendre des décisions rapides vis-à-vis de leurs pairs, d’exécuter leurs décisions en diminuant leurs problèmes opérationnels ou en gagnant en prédictivité. En 2016, IDC et SAP avaient annoncé que 60% des fabricants du monde entier utiliseraient le Big Data.

Trouver son partenaire pour tirer profit du Big Data

L’exploitation de ce Big Data à proprement dit s’applique et existe donc bien au niveau hexagonal, et dans la pratique en quelques clics seulement. Des plateformes comme celle de Manageo permettent d’analyser des milliards de données récoltées sur les entreprises françaises, d’ordre légal ou financier (bilans, comptes de résultats, score, délai de paiement, Siret, DUNS Number, procédures collectives), aidant non seulement les dirigeants à s’informer sur la santé financière des partenaires, leur capacité à rembourser leurs dettes ou leurs antécédents, mais également dans leur recherche de nouveaux clients. Plus de 30.000 clients s’appuient aujourd’hui sur les solutions de cette filiale d’Altares. Autre particularité intéressante proposée par l’agence : la possibilité d’utiliser un algorithme de recommandation appelé mBot qui scanne et analyse vos recherches afin de vous recommander les entreprises qui correspondent à vos besoins. Des précautions d’autant plus importantes lorsque l’on sait qu’après une légère baisse en 2018, le nombre de défaillances devrait grimper de 2,6% en 2019 (Source : cabinet Altares), du fait de la dégradation de la conjoncture. Plus de 54.000 entreprises ont fait faillite l’an passé.

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