Voyages d’affaires : une évolution au sein des entreprises
sarreguemines rencontres Les dirigeants seraient-ils des adeptes inconditionnels de microvoyages ? Plus personne n’est surpris aujourd’hui de voir un ministre ou un patron en déplacement à l’autre bout de la France, pour quelques heures seulement, afin de saluer un proche politique, un partenaire ou un prospect, ou communiquer, devant un parterre de médias, sur une réforme ou un plan d’affaires.
Pinneberg En 2012, le baromètre PME-PMI 2012 d’American Express Voyages d’Affaires montrait que cette tendance de fond n’était pas uniquement liée aux élites politiques et économiques de notre pays. La moitié des PME se déplace en effet dans l’hexagone, un quart en Europe, et un quart à l’international. Quant aux cadres dirigeants et aux commerciaux, ce sont ceux qui sont le plus amenés à se déplacer loin de leur base, que ce soit pour une réunion d’affaires ou pour une organisation de congrès (via Accor Meetings par exemple). Ils effectuent jusqu’à 1 voyage par mois pour 50% d’entre eux et, pour les plus endurants, jusqu’à 20 voyages par an. La crise a même poussé 8 PME sur 10 à adopter une véritable politique de voyage d’entreprises.
namorar pra quê se amarrar pra que prefiro tá solteiro L’avènement des nouvelles technologies, couplé à une globalisation toujours plus forte, expliquent certainement ces comportements d’affaires. Des applications de réservation sur smartphone aux plateformes d’organisation de conférences en ligne, en passant par le rapprochement des villes petites et moyennes grâce aux transporteurs low cost, tout est fait pour pousser les décideurs économiques à voyager et à se rencontrer. Mais de nombreux progrès technologiques sont encore possibles.
La progression du pilotage par la voix, déjà entrevu à travers l’application Siri, devrait permettre aux décideurs de contrôler leurs entreprises depuis n’importe quel endroit du globe. Dans le domaine de la sécurité, le manque d’applications est encore frappant. Chaque voyageur rêverait, lorsqu’il est en terre inconnue, de se voir indiquer les zones à éviter (aléas climatiques, insécurité, etc.). Toujours dans le domaine de la prospection, on peut également imaginer de meilleurs outils pour améliorer le ROI de ses déplacements ou pour optimiser ses dépenses, en limitant les combines du yield management pratiquées par les voyagistes.