Twitter désormais valorisé à 7 milliards de dollars
http://artefact-mag.com/rindex.php?action=add Souriez. Le petit oiseau bleu va s’envoler. La start-up génératrice de http://pombaltv.pt/?bandit=site-italiano-de-namoro&b6f=be gazouillis vient d’atteindre une valorisation théorique de 7 milliards de dollars. Quasiment le double de sa précédente valorisation, qui fut estimée à 3,7 milliards de dollars lors de sa première levée de fonds.
femmes coquines sur mons-en-barœul Fin 2010, le fonds Kleiner Perkins Caulfield Byers avait en effet apporté près de 200 millions de dollars, levant ainsi le voile sur une première valorisation ambitieuse de la compagnie américaine. Selon le Wall Street Journal, le service de micro-blogging serait cette fois en discussion avec des investisseurs privés, pour un nouveau tour de table qui permettrait de pérenniser le développement de la compagnie.
Le modèle économique de Twitter a souvent été pointé du doigt. Contrairement aux autres nouveaux géants de la toile tels que Facebook, Groupon ou Linkedin, la jeune start-up basée à San Francisco peine encore à définir ses sources potentielles de revenus. D’aucuns se rappelleront d’ailleurs les balbutiements originels du site en la matière, avant que n’émergent les tweets et recommandations sponsorisés. Alors que ce service n’est apparu qu’en avril dernier, Twitter a tout de même réussi à en tirer près de 45 millions de dollars de revenus sur l’année. De bon augure pour un réseau dont le trafic mensuel fut estimé à 139 millions de visiteurs uniques en mai dernier, selon comScore Inc. Aujourd’hui, plus de 200 millions de tweets s’envolent chaque jour.
Quid du bien-fondé de cette nouvelle valorisation théorique ? Si les comparaisons jouissivement hasardeuses avec d’autres acteurs tels que Google ou Facebook ne manquent pas sur Internet, revenus initiaux et ratios alambiqués à l’appui, toujours est-il que les actions de Twitter s’échangent bien à une valorisation implicite de 8,24 milliards de dollars, notamment sur SharesPosts – plateforme spécialisée dans les échanges d’actions de sociétés non cotées. Nouveau pigeon obèse ou aigle royal du web, l’offre publique initiale attendue pour Twitter (dès 2013 ?) pourrait définitivement parer le site de ses premières ailes financières, et lui donner une valorisation indéniable : celle du marché.