10 choses énervantes chez vos collègues de travail, volume #01
Votre pernicieux voisin de bureau vous observe en secret ? Le chef de la compta a encore dragué lourdement la stagiaire sous vos yeux ? Votre assistant est un véritable tire-au-flanc ? Détendons-nous, en découvrant 10 choses qui nous énervent chez nos collègues, et parfois nous amusent.
Quelle plaie ! Vous les entendez parler à voix basse, tandis que des regards furtifs vous désignent. Et, lorsque vous vous retournez pour les fusiller du regard, leur conversation s’arrête, à peine quelques secondes, avant de redémarrer de plus belle. Les potins sont inévitables au bureau, mais ont également une fonction sociale, dans la mesure où ils propagent l’information, cherchent à la vérifier, l’amplifient, la déforment, et attirent l’attention des uns envers les autres.
Vous rêvez. Le Flic de Beverly Hills, La Marseillaise ou Benny Hill continueront encore longtemps de hanter vos cauchemars. Votre collègue ne coupera jamais sa sonnerie, et de toute façon, il/elle prétextera qu’elle ne sait pas comment faire pour la changer. Plus la sonnerie est forte, limite stridante, plus votre cauchemar sera grand.
Mais où est passé ce rapport de la COGIP que j’ai imprimé en 20 exemplaires ? Pourquoi rien n’est sorti de l’imprimante ? Votre collègue se retourne, goguenard, et vous informe qu’il n’y a plus de papier. Cela tombe bien, il/elle était le dernier à s’en être servi(e). Et il/elle n’a aucune intention de remettre du papier, ce n’est plus son problème. Ce n'est pas non plus lui qui se chargera de changer les cartouches jet d'encre.
Il s’en va. Ce joli stylo des 20 ans de l’intersyndicale, celui qui avait connu tant de signatures, qui roulait tellement bien sur le papier, qui ne faisait pas de pâté, qui semblait inépuisable. Il vous quitte, et s’en va voguer vers de nouveaux cieux. Votre collègue ne vous le rendra jamais, quand bien même vous l’ayez appelé « reviens » avant de le prêter. Et n’essayez pas d’aller le récupérer vous-même, votre collègue l’aura soit perdu, soit caché, soit rangé dans un tiroir fermé à clef.
Qu’elle est belle la vie, lorsque l’on peut s’interrompre ainsi, toutes les demi-heures, et défiler devant le reste de ses collègues acharnés au travail, un paquet de cigarettes à la main. C’est l’heure de la quatorzième pause cigarette de la journée ! Mais la vie n’est pas si facile, ne croyez pas qu’il s’agit d’un plaisir, la cigarette est une véritable addiction, vous devriez même nous plaindre, vous narguez n’est pas de notre ressort.
Hier, c’était l’énième rediffusion du premier épisode de Star Wars. Vous n’y manquerez pas, aujourd’hui vous vous ferez traiter de Chewbacca, votre collègue vous affirmera gravement qu’il est votre père, et les bruits de lasers retentiront dans les couloirs. Toute la journée. Le pire est bien sûr de ne pas apprécier le film en question, et de savoir que la période des rediffusions ne fait que commencer.
Votre collègue est de retour de la machine à café. Mauvaise nouvelle : un paquet de chips ultra-croquantes pend à sa main. Une demi-heure de supplice acoustique vous attend. Chaque parcelle, chaque chips croquera sous la dent, dans le silence de votre bureau. Inutile d’ailleurs de rappeler à votre collègue bien-aimé(e) que l’on doit fermer la bouche, d’autant plus lorsque l’on dévore de tels ingrédients, les règles de bienséance ne s’appliquent jamais aux chips.
Quoi, vous n’avez jamais vu un chaton jouer du piano ? Et ces Russes en état d’ébriété avancés, ça ne vous fait pas/plus rire ? Alors, ces plus belles blagues sur les Belges devront vous ravir. Si vous aussi, vous avez été sommé(e) d’envoyer un email à trente-quatre personnes de votre entourage et de fermer les yeux en effectuant une prière en lituanien, vous voyez très bien de quoi nous essayons de parler ici.
Vous avancez comme une Formule 1 sur ce rapport de la COGIP, vous êtes un winner. Et puis, soudain, l’écran noir. Votre collègue d’en face surgit du fin fond de son bureau, se relève, persuadé d’avoir réglé lui-même son problème informatique. Il vient simplement de débrancher votre câble d’alimentation. Ne comptez pas sur lui pour le rebrancher, il ne sait plus de que câble il s’agit.
Une salade césar par ci, un jambon-beurre par-là, mais de votre côté, rien. Votre collègue vient de faire le tour du bureau, s’étant proposé(e) gentiment d’aller chercher à manger pour toute l’équipe, mais il vous a manifestement oublié. Erreur involontaire ? Complot international ?