Volatilité, risques extrêmes, et les éléphants endormis
http://distillerie-perigord.com/?kstroma=rencontre-etudiante-sur-draguignan&4ce=4d Les niveaux extrêmement bas de volatilité observés sur les marchés actions en fin d’année 2010 ont de quoi lever quelques questions. L’indice S&P500 a connu une volatilité 1 mois bien en dessous des 10%, et ce durant plusieurs jours consécutifs, tandis que sa performance au mois de décembre a été la meilleure enregistrée depuis 1991. Depuis la deuxième période d’assouplissement quantitatif décidée par la FED (« quantitative easing »), de nombreuses anomalies se sont produites sur les marchés, que ce soit la chute de la volatilité sur les marchés actions, son écart avec le VIX, ou les écarts historiques de volatilité entre le S&P500 et les bons du trésor.
femmes coquines sur muret Et si la FED était devenue le plus grand trader de volatilité sur le marché, en la shortant et en assumant les risques de pertes extrêmes ? Endormir un éléphant tel que le marché n’est pas chose aisée, et celui-ci pourrait bien se réveiller tôt ou tard.
C’est dans le cadre d’analyses à la fois techniques, historiques et macro-économiques que le hedge fund Artemis Capital Management tente d’éclairer périodiquement ses investisseurs. Un document écrit en anglais, mais dont la qualité n’est plus à prouver.